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En or blanc 18k et argent, un diamant coussin de taille ancienne pesant 0,35 ct environ retenant par une ligne de diamants ronds sertis clos, une importante perle fine baroque surmontée et appliquée de motifs feuillagés piqués de brillants.
Vers 1900.
Les perles sont accompagnées d’un certificat n° 381787 du L.F.G datant du 6 mai 2012 et attestant : perles fines d’eau douce, sans indication de traitement.
En argent 925, orné d’un décor de rinceaux ajourés entrelacés et émaillés de bleu, vert et blanc. Il est centré d’une figure de femme vêtue d’une longue robe émaillée de vert et bleu, tenant dans sa main une couronne qu’elle présente à un chasseur situé à sa gauche. Ce dernier vise le portrait d’un homme placé en symétrie à droite, tous deux aujourd’hui disparus. L’ensemble est ponctué de petits rubis, émeraudes et diamants de taille ancienne ou taillés en table, et agrémenté de trois perles en pampille, dont deux d’imitation et une de culture.
Epoque XIXème, probablement austro-hongrois.
En argent, figurant un demi-cercle émaillé bordeaux sur lequel sont appliqués deux paons affrontés buvant dans un vase. Il est bordé de cabochons de saphir bleu et rose sertis clos. Des spirales de fils d’argent piquées de saphirs roses servent au sommet de bélière et à la base retiennent des émeraudes et des 3 petites rangées de perles semences. Il est retenu par une chaîne d’argent.
Epoque XVIIIème s. Travail russe.
En rond d’argent, agrémenté de pâte de verre bleue, centré d’un quadrilobe dans lequel est posé une cigogne entourée de chardons (le chardon étant le symbole de Nancy et la cigogne le symbole de l’Alsace).
Vers 1910.
Travail français. Ecole de Nancy ?
En rosace d’argent ajourée. Il est centré d’un médaillon à décor d’émail bleu guilloché sur lequel est appliqué une petite étoile de perles semences. Une couronne de perles puis une couronne de fleurs jaunes-orangées entourent ce médaillon entre des ogives d’émail blanc piquées de petits rubis.
Au revers, sous le médaillon, un petit compartiment fermé par une porte en verre devait renfermer un souvenir d’un être aimé : petit portrait, mèche de cheveux…
Le pendentif est retenu par une chaîne d’argent agrémentée de quatre bâtons émaillés bleu.
Vers 1900.
En argent massif lisse, comprenant une timbale et une paire de couverts.
Timbale signée Odiot à Paris et numérotée 7647.
Poinçons de maître de J. Granvigne sur la timbale et les couverts.
Epoque fin XIXè – début XXème.
Conservés dans un écrin à la forme en cuir bordé, marqué aux fers, signé Odiot à l’intérieur et chiffré A.C.