En or jaune repoussé 18K, à décor de rinceaux et de feuillages ajourés, centrée d’une importante améthyste légèrement bombée et facettée pesant 12 cts environ. Elle est agrémentée d’aigues-marines de taille ovale et de kunzites roses. Et elle retient en pendentif, une pampille amovible terminée d’une citrine facettée taillée en pointe de flèche.
Epoque Charles X, entre 1819 et 1838 (poinçon tête de bélier).
Travail français.
Important pendentif citrine en or jaune 18k, centré d’un médaillon tournant serti clos d’une très belle citrine de taille ovale, pesant environ 60 cts. Une frise finement travaillée à motifs végétaux, réalisée en trois tons d’or, entoure la pierre. Puis deux rubans en or jaune surmontent l’ensemble, réunis par une fleur stylisée, et suspendu à une large bélière.
Travail français. Trace de poinçon de maître.
en or blanc, serti de saphirs roses de taille ronde pesant ensemble 1,80 ct environ. Il est retenu par une chaîne en or blanc à maille palmier.
Travail moderne.
En platine, une bélière diamantée retenant un saphir ovale pesant 3 cts environ dans un entourage de diamants de taille brillant. Il est accompagné de sa chaîne également en platine.
Pendentif-broche transformable en deux tons d’or 18k. Il a la forme d’un ruban croisé d’or gris serti en partie de diamants. De plus, une belle tourmaline verte poire pesant environ 3,90 cts environ orne son centre. Au dos, une épingle en or 9k permet de porter ce bijou également en broche.
En jade sculpté, figurant un vase et une architecture japonisante.
Il est surmonté d’une perle de cornaline et d’un cordon en soie et il retient par une cordelette de soie deux pompons orange.
En or gris, centré d’un beau diamant rond de taille brillant pesant 0,77 ct environ. Il est retenu par une chaîne à maille palmier.
En pâte de verre, figurant un scarabée. Retenu par un cordon de soie.
Monogramme AW.
Vers 1910, travail français de l’école de Nancy.
En or jaune 18k, centré d’un médaillon d’émail rouge bordé d’une brise festonnée et surmonté de trois petites perles. Il est entouré d’une frise ajourée. Au dos, il s’ouvre et découvre un petit compartiment secret pour garder une photo.
Epoque début XXème.
Travail français, poinçon de maître possible de Charles Challot, joaillier à Maisons Alfort (Poinçon enregistré de 1908 à 1927).
Pendentif cygne en or blanc, l’œil et la queue piqués de diamants. Il porte sur son dos un diamant rond de taille moderne, plus important, de belle qualité (couleur estimée J-K, pureté VS), pesant 0,90 ct environ.
Le pendentif est retenu par une chaîne à maille palmier d’or blanc.
Travail moderne.
La chaîne signée Vieri (Italie).
Pendentif camée sur coquillage en or rose, figurant une Belle de profil à droite, vêtue à l’antique. Le camée est serti clos et souligné d’une chaînette. La bélière en forme de coquille stylisée.
Epoque XIXème siècle.
En deux tons d’or, les pétales ouverts sertis de diamants taillés en rose, ouvrant sur trois tiges figurant les pistils terminés de perles.
Epoque XIXè.
Dimensions : 4 x 1,5 cm environ.
Poids : 4,8 g (18k – 750/1000).
Pendentif croix en or jaune. Le corps du Christ sculpté est appliqué sur une croix en or jaune et appliqué d’un écriteau « INRI ».
En vermeil, centré d’un médaillon porte-souvenir en micromosaïque figurant le Lion de Saint-Marc, un livre sous la patte. Il est entouré d’une frise fleurie et retient trois pampilles également en micromosaïque. Au revers, le médaillon s’ouvre et permettait de renfermer un portrait souvenir ou une mèche de cheveux.
Epoque XIXème.
Travail italien, probablement vénitien.
En argent 925, orné d’un décor de rinceaux ajourés entrelacés et émaillés de bleu, vert et blanc. Il est centré d’une figure de femme vêtue d’une longue robe émaillée de vert et bleu, tenant dans sa main une couronne qu’elle présente à un chasseur situé à sa gauche. Ce dernier vise le portrait d’un homme placé en symétrie à droite, tous deux aujourd’hui disparus. L’ensemble est ponctué de petits rubis, émeraudes et diamants de taille ancienne ou taillés en table, et agrémenté de trois perles en pampille, dont deux d’imitation et une de culture.
Epoque XIXème, probablement austro-hongrois.
en vol en or jaune ciselé. L’oiseau tient dans son bec ouvert un rubis rond serti clos et autour du cou, il porte un fin collier de diamants. Une chaînette relie le rubis et le collier pour se terminer par deux perles légèrement baroques.
Travail français.
Vers 1900-1910.
